A partir de films produits au laboratoire, dont on peut faire varier la nature des polymères (et donc leur compatibilité intrinsèque ou encore leurs propriétés viscoélastiques que l’on caractérisera par rhéométrie et/ou DMTA), mais aussi le nombre de couches et leur épaisseur (qui seront caractérisées notamment par microscopie optique et/ou électronique et/ou AFM), on cherchera à mettre en place un essai mécanique permettant de quantifier l’adhésion interfaciale pour des films possédant jusqu’à plusieurs milliers de couches.

Publié le 28/08/2022