Des chercheurs de l’Université de Binghamton (USA) utilisent la bactérie C. necator pour convertir des déchets alimentaires fermentés en PHB, un bioplastique de la famille des PHA. Grâce à une fermentation lactique anaérobie, ce procédé ne génère ni CO₂ ni CH₄, tout en produisant de l’acide lactique, précurseur de polymères biodégradables. Économiquement attractif, le procédé valorise des substrats peu coûteux, et offre une solution industrialisable à la fois pour réduire les déchets organiques et produire des plastiques biosourcés.
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